Fumeur opéré, patient fragilisé
Divisez par trois vos risques opératoires en arrêtant de fumer
Ouvrage
Paris : Office français de prévention du tabagisme, 1, 2007, 35 p.
Thématique(s) : Conduites addictives
Collection Tabacologia
Deux millions d’interventions chirurgicales concernent chaque année en France des fumeurs. Savez-vous qu’en arrêtant de fumer six à huit semaines avant une opération programmée, les risques de complications dues au tabac disparaissent ? Ce livret décrit les bénéfices de l’arrêt du tabac avant une opération : moins de complications infectieuses,coronariennes, respiratoires, cicatricielles, moins de retards de consolidation osseuse, une durée d’hospitalisation moins longue et des séjours en service de soins intensifs moins fréquents… Même un non-fumeur, un enfant par exemple, soumis au tabagisme passif, bénéficiera de l’arrêt du tabac de ses parents lors de son opération. Si l’intervention est prévue dans l’urgence, l’arrêt complet du tabac, même 48 heures avant d’être opéré, apporte des bienfaits non négligeables.
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